LEx-Petit-Copain Black Au Cinéma X Dévergondages 15
Lex-petit-copain Black au cinéma X Dévergondages 15
Odile Laribeau, née de Rissac, est une jolie femme de quarante-huit ans, mariée à un homme de cinq ans son aîné et heureuse en famille. Elle est responsable des ressources humaines dune société bordelaise. Durant six mois, elle est courtisée par Edmond Gardel, un notaire retraité de soixante-quatre ans. Invitée à déjeuner en tête-à-tête chez Edmond, Odile sest laissée embrasser par son hôte. Victime dun chantage, et pour éviter le déshonneur, elle cède au notaire.
« Le libertinage c'est aimer au pluriel. Tout en restant singulier ».
Tranches de vies libertines - Denis Grattepain
Odile est contrainte de se faire prendre en levrette par Edmond dans les toilettes dun restaurant. Edmond lui impose de ne pas porter de soutien-gorge, ni de culotte. Il lui achète des vêtements sexy et des sous-vêtements coquins. Il met à sa disposition un appartement discret pour quelle puisse y ranger ses tenues affriolantes. Cest dans ce lieu surprenant quil la prend en photo dans des poses plus quosée et quil la prépare à la sodomie en lui introduisant un premier rosebud. Le soir même, son mari la trousse à la hussarde dans le vestibule de leur maison sans quelle ne proteste, jouissant tout de même de cette situation. Le lendemain, lorsquelle retrouve Edmond, celui-ci la doigte, la révélant à sa plus grande confusion « femme fontaine ». Il lui introduit un rosebud dune taille supérieure dans lanus. Puis, Edmond oblige Odile à sexhiber sur une terrasse de restaurant, où un couple en fait de même. Dans les buissons dun parc les deux hommes prennent leur femme et pour finir les deux filles font lamour entre elles.
Le lendemain matin, au réveil, Odile est presque violée par Michel, son mari, mais surtout il lui déflore le trou du cul sans vergogne
La journée se passe à faire lamour, comme cela ne leur était jamais arrivé en vingt-cinq ans de mariage.
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Odile, est rentrée chez elle après avoir offert son cul au notaire. Elle ne peut sen cacher, elle sétait bien préparée, physiquement et mentalement à être sodomisée par ce sexe qui fait plus du double de celui de son mari. Justement, ce soir là, celui-ci la à peine préparé et, juste après le diner il la fait mettre à quatre pattes sur le lit et la enculée sauvagement, lui arrachant des gémissements qui se sont transformés en cris inarticulés.
Odile ne pensait même plus à sa fille qui devait rentrer tard, lorsque, ses yeux se tournant vers la porte de la chambre maritale, elle entrevoit le visage de sa fille qui contemple ses parents en plein coït. Et encore, doù elle se trouve, elle ne peut sapercevoir que le pénis de son père est complètement engagé dans le rectum de sa mère. Quand Muriel découvre quOdile la vue, elle referme très doucement la porte entrebâillée.
Cest loccasion, le lendemain pour Odile, de crever labcès de la rencontre avec Edmond, lorsque Muriel a vu sa mère dans une tenue très légère et plutôt inhabituelle. Odile, sexplique dabord maladroitement sur les rapports intimes de ses parents que sa fille naurait pas dû voir, puis, elle lui fait part de son inquiétude sur ce que la jeune fille va connaître un jour et elle lui demande de prendre la pilule pour éviter dêtre enceinte. Muriel lui assure quelle est toujours vierge, même si Gérard, son ex petit ami a manqué la violer en lui arrachant presque sa culotte.
Edmond est absent pour la semaine. Michel, son mari a pris une semaine de congé, elle en tire parti pour bénéficier dune semaine de repos. Tous les deux en profitent pour partir sur leur voilier, amarré habituellement sur le quai de Lormont, face à leur propriété. Ils vont tirer des bords sur lestuaire de la Gironde et se font bronzer sur le pont. Michel et Odile, bien que nexprimant toujours pas leurs sentiments, font lamour sans complexe sur le pont du bateau ou dans la cabine quelque peu exigüe. Odile participe de plus en plus, nhésitant pas à faire des fellations à son mari qui lèche volontiers son entrejambe et suce même son clitoris. Il la sodomise très souvent, rattrapant à nen pas douter le temps perdu. Le couple a trouvé enfin un équilibre sexuel après vingt-cinq ans de mariage, mais ni lun ni lautre nose aborder le pourquoi de ce changement.
Le jeudi de la semaine suivante, Edmond, emmène Odile, déjeuner dans un excellent restaurant du cours de la Marne, pas très loin de son bureau, avenue Victor Hugo. À lissue du déjeuner, il descendent le cours vers la gare de Bordeaux, quand soudain, à la hauteur du 229, il pénètre dans un établissement dont le fronton annonce « Complexe Théâtre Aquitain ». Odile ouvre de grands yeux et devient cramoisie lorsquelle se rend compte dans quel lieu son coquin de notaire la entrainée.
Construit dans les années 50 à la gare Saint-Jean, le cinéma fut tout dabord baptisé Le Midi, du nom de la compagnie de chemins de fer de lépoque. Dans les années 70, ce fut la grande époque du « cinéma porno »
Il changea de nom et, par les multiples activités proposées devint le Complexe Aquitain, nom justifié par lajout dune salle de théâtre érotique
Nombre de bordelais se souviennent de la fameuse pièce » Nuits chaudes à Chicago ».
Sur 1000m2, il y a la partie sex-shop avec un rayon lingerie, ainsi quun salon qui abrite un bar. Des cabines de projection, de peep show, et même aujourdhui une partie club libertin viennent compléter létablissement. ! Pour les amoureux du 7e art version X, deux salles de cinéma accueillent les couples et les messieurs seuls : une troisième salle est totalement réservée aux couples mais quel que soit le choix, cest souvent plus chaud dans la salle quà lécran. Lieu emblématique de Bordeaux, Le Complexe Aquitain est lun des derniers cinémas pornos de France, et dans tous les cas le dernier du grand sud-ouest.
Edmond, qui doit être connu, ne passe pas à la caisse et entraine sa compagne dans une des salles où couples et hommes seuls sont acceptés. À cette heure de la journée, la salle minuscule pouvant contenir au plus une trentaine de spectateurs, est presque vide. À la demande dEdmond, louvreuse les place au dernier rang, au milieu de la rangée sur des fauteuils en velours rouge, de la même teinte que les murs et le sol en moquette. Seul le plafond est bleu roi, éclairé dune multitude de petites étoiles donnant une lumière diffuse dans cette salle obscure. Le film est commencé, il sagit daprès laffiche apposée à lentrée de LInitiation dune Femme Mariée, tournée en 1983 par Burt Tranbaree, avec une actrice sublime de lépoque Cathy Ménard et de très gros moyens techniques. À peine assis, un spectateur vient sasseoir à côté dOdile, mais elle nose tourner la tête pour savoir à quoi il ressemble. Elle est angoissée et effrayée de se savoir dans cet endroit si sombre et glauque. Néanmoins, elle est rassurée par la présence dEdmond à ses côtés, mais que pourrait-il faire si la dizaine de spectateurs voulaient la violer ?
Les images du film dévoilent une voiture garée au Bois de Boulogne, alors que le couple à lavant du véhicule, mate les prostituées, pendant que le conducteur masturbe la femme qui, sa robe retroussée jusquà la taille, est fouillée longuement jusquà ce que son mari, joué magnifiquement par Richard Allan, lamène progressivement à lorgasme.
Soudain la main de son voisin se glisse sur sa cuisse découverte. Tétanisée, elle nose la retirer, surtout quEdmond retire la sienne et déboutonne son corsage pour mettre ses seins à découvert. Les doigts qui la caressent, sinsinuent entre les lèvres intimes qui shumidifient rapidement. Odile ne peut sempêcher de pousser plusieurs gémissements à la main qui maintenant la fouille profondément. Elle a fermé les yeux, ne voulant pas voir linconnu qui lui fait le plus grand bien. Celui-ci dailleurs, saccroupissant entre les jambes écartées, vient poser ses lèvres sur la vulve dégoulinante de mouille. Lhomme a pris les cuisses altières dans ses mains, fouille avec le nez et la langue les chairs enflammées, suçant le clitoris qui gonfle dans sa bouche. Bientôt la jouissance déferle en elle qui ne peut sempêcher de clamer sa joie.
À ce moment, le film diffuse la suite de linitiation par son mari de cette femme mariée : il se fait faire une fellation par sa compagne qui le contemple dun regard bouleversé et inoubliable lorsquelle accepte le sperme qui jaillit et sécoule entre ses lèvres. Déjà, à ce moment, le jeu de Cathy Menard révèle la grande artiste quelle aurait pu être dans le cinéma traditionnel.
Lhomme qui lui broutait la vulve sest redressé devant Odile. Stupéfaite, elle reconnaît instantanément Gérard Ndiaye, lex petit ami de sa fille qui la dévisage lui aussi avec ébahissement. Pas gêné pour un tel détail, le Noir athlétique apostrophe son ex future belle-mère.
- Eh bien Madame Laribeau, vous que je croyais si prude, on sencanaille dans un cinéma porno ! On se fait bouffer la chatte par le black de service ? Ma petite salope, tu vas sucer mon saucisson et jespère que tu es une bonne avaleuse de bite !
Odile manque défaillir. Se peut-il quelle se trouve justement dans cette position inconvenante avec un familier de son entourage ? Celui justement qui a manqué violer sa fille. Elle na pas le temps de se poser de questions, car Edmond linterpelle à son tour.
- Eh alors ma petite pute vicieuse, quattendez vous pour prendre entre vos jolies lèvres de cochonne lubrique le magnifique vit de ce garçon qui simpatiente ?
De grosses larmes coulent du visage de la belle mature. Cette fois, elle atteint le summum de lignominie et de la déchéance. Elle se décide pourtant à prendre la tige noire entre ses doigts clairs et fins, pour dégager le gland circoncis et le prendre en bouche. Elle qui justement avait des préjugés et surtout des réticences sur le fait davoir des rapports intimes avec des hommes de couleur, se retrouve à faire une fellation à lun dentre eux. Depuis quelle a été circonvenue par le notaire, elle a étrangement pris goût aux caresses buccales et la queue de ce garçon ne déroge pas à celles de son mari ou dEdmond. Elle prend de plus en plus plaisir à leur « tailler une pipe ». Elle suce et tète le gland noir avec délicatesse, lengloutissant au fond de sa gorge et entortillant sa langue autour de la hampe rigide et orgueilleuse.
Gérard linvective sans fioritures.
- Je vois que la Madame Laribeau sait parfaitement me pomper la bite. Allons putain, suce et tète ma pine, ce que ta fille a été incapable de faire : cette mijaurée, cette salope que jaurais pourtant bien baisée.
Odile sactive le mieux quelle peut, lorsque soudain Edmond interrompt le pompier, demandant à Odile dôter son corsage et sa jupe et de venir le chevaucher.
Ayant perdue toute dignité, Odile se débarrasse de ses vêtements et cest entièrement nue quelle enjambe le notaire qui reste assis dans son fauteuil. Les cuisses amplement écartées, elle essaie de se disposer pour que lengin du notaire puisse pénétrer sa vulve. Celui-ci a une autre exigence, il retire le rosebud engagé dans lanus de la bourgeoise perverse, puis, il encule sans coup férir le rectum quil a si bien façonné depuis des semaines. Odile se laisse aller sur le torse de son amant, lorsquelle sent le membre de Gérard qui cherche à sinsinuer entre ses cuisses. Elle veut dabord se dégager, mais le notaire limmobilise en lui emprisonnant les bras. Lorsque la verge cherche louverture de sa vulve, elle proteste.
- Je vous en prie Gérard, vous ne pouvez me prendre, Edmond est déjà en moi. Je vous en supplie, après si vous le voulez, mais pas maintenant, ce nest pas possible.
Le descendant dun Sénégalais et dune Martiniquaise ricane et pousse son vit dans léchancrure du con de la mature quil veut humilier. Il est aidé par Edmond qui maintient sa proie la plus écartelée possible, facilitant ainsi la pénétration vaginale du pénis noir qui vient se frotter au travers de la mince paroi au pieu du notaire qui laboure le cul de la quadragénaire. Le Noir lenfile dun seul jet, coïtant à grands coups de reins dans le con à présent englué dune substance abondante. Odile hurle sous la double pénétration qui défonce ses chairs meurtries. Bientôt cependant, la douleur sestompe et elle se surprend à apprécier le vit dEdmond qui lui force le derrière, alors que Gérard la prend par devant dans la chatte, lui imposant ainsi le premier sandwich de sa vie.
Malgré son affolement de se faire prendre par deux hommes en public, lhumiliation et le dégoût de cette situation obscène, Odile, se surprend à envoyer son bassin à la rencontre des deux verges qui la pourfende sans relâche. Elle se fait horreur, tout en se vautrant dans la débauche, bouleversée par le plaisir pervers de sa chair admirablement comblée
À suivre
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